Les croyances ont la vie dure. Y compris dans l'entreprise...
Combien de fois n'entend-on pas : untel n'est pas fiable pour l'un alors qu'un autre n'aura jamais eu de problèmes avec cette personne* ou encore les 1000 autres bonnes raisons de nos échecs, préférablement externes à notre propre personne, histoire que notre égo soit comblé. L'échec n'étant plus une tare mais bien une façon d'apprendre, plus vite la remise en question personnelle est rapide, moins les effets collatéraux seront importants. C'est mathématique.
Reconnaître ses erreurs au sein de l'entreprise** est évidemment assez pratiqué pour les évidences opérationnelles auprès des employés ou des clients mais qu'en est-il de ses propres compétences en tant que dirigeant sur les volets stratégique et managérial? Comment les évalue-t-on? En questionnant le personnel? en faisant des sondages? en laissant la porte de son bureau ouverte? à travers un avis externe choisi? ou hasardeux (ie le conjoint, l'oncle, le voisin)? Comment mesure-t-on son accessibilité et la véracité de ce que l'on connait réellement du fonctionnement interne de son entreprise?
Je vous invite à visionner cette vidéo interview avec Tony Robbins :
Au fond, les deux questions qu'il faut garder en tête sont : quelles sont mes croyances? Qu'ai-je mis en place pour limiter ses impacts?
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Au fond, les deux questions qu'il faut garder en tête sont : quelles sont mes croyances? Qu'ai-je mis en place pour limiter ses impacts?
** A lire : Avoir le courage de ses erreurs
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