Mr Trucmuche... Ou à peu près!

Parlons aujourd'hui de la précision de l'appellation des gens par leur vrai nom. 
Je m'explique. Lorsque vous traitez avec un client, un partenaire ou un employé, il est de bon ton de s'assurer : qu'on donne le bon sexe à notre interlocuteur (se faire appeler Monsieur quand on est une dame n'est pas spécifiquement agréable, et vice versa!), qu'on prononce bien son nom (quitte à utiliser des astuces pour retenir son nom : ce qui compte, c'est le résultat!) et qu'on l'écrit correctement (ou qu'on négocie explicitement qu'on va utiliser un diminutif pour faciliter les échanges ce qui est très bien reçu en général). Au fond, ici, que du B.A BA
de la communication mais tellement souvent pourtant les noms sont déformés sans scrupule par l'ensemble de l'entreprise et finalement un sentiment, pour le client ou partenaire, de n'être qu'un numéro parmi tant d'autres et ce, quelques soient les efforts déployés par l'ensemble de l'entreprise par ailleurs...

La résistance d'une chaîne se mesure à son maillon le plus faible.”

Sans compter toute la problématique liée au retraçage du client dans la base de données : entre les doublons et les recherches infructueuses, il serait temps, au nom du respect du client mais également de la productivité de l'entreprise, de redonner l'importance qu'il se doit au nom de son interlocuteur.

A l'ère d'une concurrence impitoyable, il est indispensable que tout individu travaillant en relation avec la clientèle ait conscience que l'individualisation des relations humaines est un enjeu concurrentiel majeur qu'on ne peut plus se permettre de laisser de côté. Un niveau de service à la clientèle d'excellence vous apportera, sans aucun doute possible, une vraie plus-value sur votre marché.

N'oubliez pas, ce sont les détails qui comptent!  

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